Article 11 de la déclaration des droits de l’homme

La liberté de la presse devient une valeur constitutionnelle en 1984.

La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.

L’État garant

Par la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse, l’État garantit :

La loi encadre la liberté de la presse afin de trouver un équilibre entre :

<aside> <img src="/icons/shield_gray.svg" alt="/icons/shield_gray.svg" width="40px" /> Protection des individus

<aside> <img src="/icons/city_gray.svg" alt="/icons/city_gray.svg" width="40px" /> Maintien de l’ordre public

Sont punis par la loi :

<aside> <img src="/icons/judicial-scales_gray.svg" alt="/icons/judicial-scales_gray.svg" width="40px" /> Bonne administration de la justice

Les interdictions protègent :

<aside> <img src="/icons/conceal_gray.svg" alt="/icons/conceal_gray.svg" width="40px" /> Le secret de l’instruction

Au stade de l’instruction, ne peuvent pas être publiés :

Au stade des débats, la loi interdit :

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